Nous n'avons plus d'exemplaire disponible pour le moment mais chaque jour nous remettons plus de 8000 produits en stock.
Vous souhaitez être averti lors de son retour en stock ?
Produit indisponible actuellement
Ce produit a été victime de son succès !
Nous n'avons plus d'exemplaire disponible pour le moment mais chaque jour nous remettons plus de 8000 produits en stock.
Inscrivez-vous à notre alerte sur ce produit pour être prévenu par email lors de son retour en stock.
Résumé
L'ÉPOQUE?>La Règle du Jeu se réjouit d'accueillir dans ses colonnes des textes publiés par la revue yougoslave Vreme — la seule, aujourd'hui, à prendre position ouvertement contre le délire nationaliste et meurtrier qui entraîne ce pays dans la barbarie. Les auteurs de ces textes, il faut le savoir, sont menacés de mort pour avoir pris publiquement ces positions. Un tel climat n'en rend que plus évidente la nécessaire solidarité avec ces quelques intellectuels yougoslaves qui, aujourd'hui, sauvent l'honneur.STANKO CEROVIC?>Vainqueurs et vaincus¦ Qui est vaincu dans cette guerre ? Les recrues dont les mères ont sans aucun doute soutenu le renouveau de la nation dans leurs républiques ? C'est l'opposition libérale en Yougoslavie qui est vaincue.Danilo Kiš a été le premier à le sentir.Il y a trois ans, déjà malade, Kis, dont on ne pouvait plus distinguer si la lucidité accrue était due à la maladie ou à son génie... répétait sans cesse à propos de l'effondrement du communisme : « Je me sens dans un tel merdier, pire qu'à l'époque du stalinisme. »Ce sentiment s'est largement propagé et l'on entend partout le même mot : toute l'opposition libérale se sent dans le merdier, tous les dissidents de la période de Tito, tous ceux qui rêvaient à la fin du communisme comme à l'avènement d'une nouvelle liberté, de la dignité individuelle, de la renaissance culturelle.Drôle de renouveau des nations ! Au moment où tous les leaders politiques et intellectuels des mouvements nationaux trinquent, car ils sont sur le point de remporter une victoire historique, les meilleurs des hommes et des femmes — ceux et celles qui répétaient pendant les années les plus noires « il faut résister et rester » — tous et toutes veulent émigrer, pour toujours et le plus loin possible.Quelle a été l'erreur de l'opposition libérale, la seule opposition au communisme, pour quelle raison a-t-elle été la seule à être rayée de la carte après le communisme ?Avant tout, des appréciations erronées et un manque de « folie et d'agressivité » dont les observateurs superficiels pensent qu'elles surabondent dans la société yougoslave.L'appréciation politique erronée essentielle a été la suivante : on considérait que le communisme n'était qu'une façade derrière laquelle couvait et même s'épanouissait la vie authentique, étaient conservés les fondements de la morale et la raison. Cette erreur, commise par tous les connaisseurs du communisme, n'est justifiée que par le fait que nous n'avions encore jamais vu les conséquenses d'une dictature idéologique. Ce qui s'est révélé d'essentiel s'est avéré catastrophique : seul le régime était une façade, tandis que le communisme, en tant que système de valeurs, corruption, autocensure, peur et mensonge, constituait une couche bien plus profonde qui ne recouvrait aucun noyau sain. Fin de l'histoire.C'est maintenant que l'Europe va être confrontée à ce type d'héritier totalitaire : les Yougoslaves en sont de toute évidence l'avant-garde. Ce fut une erreur de croire que ce que l'on appelait l'opposition nationale (ce qui est une contradiction : la notion de national implique celle de majorité), depuis toujours liée au pouvoir — la dictature ne l'a en rien gênée, elle veillait sur les intérêts nationaux avec « ses » communistes — que cette opposition, donc, à un moment donné glisserait du « bon » côté, et opterait pour la liberté. Dans cette optique, les libéraux l'ont épargnée, ils ont couvert son opportunisme, l'ont justifiée, l'incluant dans leurs initiatives d'opposition auxquelles elle ne voulait pas participer ou qu'elle affaiblissait, tout ceci avec l'idée que « ça ne fait rien, il n'y a pas actuellement de gens meilleurs, un jour cela pourra servir... » Erreur. Jamais.Cette « opposition » est aujourd'hui encore restée associée aux communistes, seules les proportions ont changé : l'appareil la sert, au lieu de la cultiver et de l'exploiter...C'est la réponse à la question de « l'agressivité et de la folie ».Certes, la violence yougoslave n'est pas la conséquence de l'agressivité — l'agressivité est un symptôme de l'individualisme — mais d'une servilité excessive, d'un opportunisme invétéré, d'une humilité devant les puissants — traits développés à l'extrême par le titisme. La violence de l'esclave est toujours la pire parce que désespérée ; le larbin se délecte dans le crime même et dans son non-sens, car l'intérêt de la chose lui échappe ; il ne comprend pas les ordres et ne cherche pas à les comprendre : il ne possède que le slogan, il a le nom de l'ennemi, le code — c'est le fondement de l'idylle commune dans laquelle peuvent se dissoudre les malheurs personnels les plus divers. Cela s'appelle l'entente nationale.Depuis que j'ai vu les femmes serbes demander qu'on leur rende leurs enfants, j'ai sans cesse à l'esprit la paraphrase du vers de Joseph Brodsky, à propos de la guerre d'Afghanistan : Gloire aux femmes qui ont avorté il y a vingt ans. Elles ont épargné à leurs enfants la honte, la bêtise et le crime.Seule leur intuition a été juste, seul leur sang a été versé glorieusement pour la patrie.Traduit du serbo-croatepar Franjo TermacicSTOJAN CEROVIC?>Les usurpateurs du bâton de Maréchal¦ L'armée qu'il a bâtie durant des décennies sera restée son œuvre la plus durable.De nos jours, elle ressemble à ces bataillons de terre cuite qui protègent les sépultures des empereurs chinois.Josip Broz a mal choisi le lieu de son repos éternel parce qu'il était trop vieux quand il lui est venu à l'idée qu'il pourrait, en principe, lui aussi mourir. Qu'il y ait pensé trop tard n'est pas dû à son seul manque de clairvoyance. On dit qu'il lui arrivait de temps à autre de faire allusion au moment où « je ne serai plus », sur quoi le chœur immense de ses serveurs et larbins, aides de camp et veneurs (futurs hommes d'État) le suppliaient de ne plus plaisanter d'une manière aussi cruelle. Beaucoup d'entre eux, ainsi que leurs laquais de l'époque ou les laquais des laquais, pour lesquels l'heure est venue d'accéder aux fonctions suprêmes, s'accordent aujourd'hui à dire que le bail de la dernière demeure de Tito est expiré. [...]Le règne de feu le maréchal peut paraître à certains, de nos jours, avoir été une période de paix, d'ordre, de prospérité, ce qu'il a été réellement, mais la tragédie actuelle a dès lors été engendrée. Cependant, un phénomène bizarre se produit à propos de Tito. Tous les nationalistes l'accablent de ce qui est le moins de sa faute : des injustices et des crimes commis tout particulièrement envers leurs peuples respectifs. En ce qui concerne ces injustices, il les a, en principe, réparties équitablement. Il a vécu, tout simplement, dix, vingt, trente ans de plus qu'il ne nous aurait fallu. L'énorme culte de sa personnalité s'est nourri de notre dignité et de notre estime de nous-mêmes. Sa police et son armée ont fait de nous des êtres humiliés et indignés. Les dettes de l'État seraient le moindre des problèmes si seulement ce régime avait laissé aux citoyens la possibilité de conserver leurs vertus humaines, s'il ne les avait maintenus dans un état infantile, n'exigeant d'eux que la discipline et la peur du pouvoir. Maintenant, alors que ce pouvoir s'effondre, ces enfants font montre de leur manque d'éducation. La peur a disparu et soudain tout est permis.De ce point de vue, la Yougoslavie, « pays d'une révolution authentique », s'en est moins bien tirée que les autres pays de l'est européen où le nationalisme est également apparu au sortir du communisme. Ici, les gens ont été piétinés de façon plus authentique et ils manifestent maintenant des traits de caractère plus profondément barbares et des réactions plus primitives.Le fait même de la guerre ne devrait pas être si grave, si elle n'était pas conduite avec tant de barbarie, avec une énergie vengeresse incommensurable. On finira par oublier qu'elle est née d'un litige à propos des frontières, qu'il y avait des projets d'État et des ambitions antagonistes. Tout ce qui restait de discipline cédera, et il n'y aura plus que le crime sauvage, le pillage et les destructions menées suivant un catalogue des richesses culturelles et des monuments historiques universels.Peut-être tout cela ne ...
Caractéristiques
Edition
Société D'édition Et De Communication, Grasset
Dimension
16 X 23 X 2.3
ISBN
9782908656053
Date de publication
1992
Poids (g)
406
Reliure
Broché
Résumé
L'ÉPOQUE?>La Règle du Jeu se réjouit d'accueillir dans ses colonnes des textes publiés par la revue yougoslave Vreme — la seule, aujourd'hui, à prendre position ouvertement contre le délire nationaliste et meurtrier qui entraîne ce pays dans la barbarie. Les auteurs de ces textes, il faut le savoir, sont menacés de mort pour avoir pris publiquement ces positions. Un tel climat n'en rend que plus évidente la nécessaire solidarité avec ces quelques intellectuels yougoslaves qui, aujourd'hui, sauvent l'honneur.STANKO CEROVIC?>Vainqueurs et vaincus¦ Qui est vaincu dans cette guerre ? Les recrues dont les mères ont sans aucun doute soutenu le renouveau de la nation dans leurs républiques ? C'est l'opposition libérale en Yougoslavie qui est vaincue.Danilo Kiš a été le premier à le sentir.Il y a trois ans, déjà malade, Kis, dont on ne pouvait plus distinguer si la lucidité accrue était due à la maladie ou à son génie... répétait sans cesse à propos de l'effondrement du communisme : « Je me sens dans un tel merdier, pire qu'à l'époque du stalinisme. »Ce sentiment s'est largement propagé et l'on entend partout le même mot : toute l'opposition libérale se sent dans le merdier, tous les dissidents de la période de Tito, tous ceux qui rêvaient à la fin du communisme comme à l'avènement d'une nouvelle liberté, de la dignité individuelle, de la renaissance culturelle.Drôle de renouveau des nations ! Au moment où tous les leaders politiques et intellectuels des mouvements nationaux trinquent, car ils sont sur le point de remporter une victoire historique, les meilleurs des hommes et des femmes — ceux et celles qui répétaient pendant les années les plus noires « il faut résister et rester » — tous et toutes veulent émigrer, pour toujours et le plus loin possible.Quelle a été l'erreur de l'opposition libérale, la seule opposition au communisme, pour quelle raison a-t-elle été la seule à être rayée de la carte après le communisme ?Avant tout, des appréciations erronées et un manque de « folie et d'agressivité » dont les observateurs superficiels pensent qu'elles surabondent dans la société yougoslave.L'appréciation politique erronée essentielle a été la suivante : on considérait que le communisme n'était qu'une façade derrière laquelle couvait et même s'épanouissait la vie authentique, étaient conservés les fondements de la morale et la raison. Cette erreur, commise par tous les connaisseurs du communisme, n'est justifiée que par le fait que nous n'avions encore jamais vu les conséquenses d'une dictature idéologique. Ce qui s'est révélé d'essentiel s'est avéré catastrophique : seul le régime était une façade, tandis que le communisme, en tant que système de valeurs, corruption, autocensure, peur et mensonge, constituait une couche bien plus profonde qui ne recouvrait aucun noyau sain. Fin de l'histoire.C'est maintenant que l'Europe va être confrontée à ce type d'héritier totalitaire : les Yougoslaves en sont de toute évidence l'avant-garde. Ce fut une erreur de croire que ce que l'on appelait l'opposition nationale (ce qui est une contradiction : la notion de national implique celle de majorité), depuis toujours liée au pouvoir — la dictature ne l'a en rien gênée, elle veillait sur les intérêts nationaux avec « ses » communistes — que cette opposition, donc, à un moment donné glisserait du « bon » côté, et opterait pour la liberté. Dans cette optique, les libéraux l'ont épargnée, ils ont couvert son opportunisme, l'ont justifiée, l'incluant dans leurs initiatives d'opposition auxquelles elle ne voulait pas participer ou qu'elle affaiblissait, tout ceci avec l'idée que « ça ne fait rien, il n'y a pas actuellement de gens meilleurs, un jour cela pourra servir... » Erreur. Jamais.Cette « opposition » est aujourd'hui encore restée associée aux communistes, seules les proportions ont changé : l'appareil la sert, au lieu de la cultiver et de l'exploiter...C'est la réponse à la question de « l'agressivité et de la folie ».Certes, la violence yougoslave n'est pas la conséquence de l'agressivité — l'agressivité est un symptôme de l'individualisme — mais d'une servilité excessive, d'un opportunisme invétéré, d'une humilité devant les puissants — traits développés à l'extrême par le titisme. La violence de l'esclave est toujours la pire parce que désespérée ; le larbin se délecte dans le crime même et dans son non-sens, car l'intérêt de la chose lui échappe ; il ne comprend pas les ordres et ne cherche pas à les comprendre : il ne possède que le slogan, il a le nom de l'ennemi, le code — c'est le fondement de l'idylle commune dans laquelle peuvent se dissoudre les malheurs personnels les plus divers. Cela s'appelle l'entente nationale.Depuis que j'ai vu les femmes serbes demander qu'on leur rende leurs enfants, j'ai sans cesse à l'esprit la paraphrase du vers de Joseph Brodsky, à propos de la guerre d'Afghanistan : Gloire aux femmes qui ont avorté il y a vingt ans. Elles ont épargné à leurs enfants la honte, la bêtise et le crime.Seule leur intuition a été juste, seul leur sang a été versé glorieusement pour la patrie.Traduit du serbo-croatepar Franjo TermacicSTOJAN CEROVIC?>Les usurpateurs du bâton de Maréchal¦ L'armée qu'il a bâtie durant des décennies sera restée son œuvre la plus durable.De nos jours, elle ressemble à ces bataillons de terre cuite qui protègent les sépultures des empereurs chinois.Josip Broz a mal choisi le lieu de son repos éternel parce qu'il était trop vieux quand il lui est venu à l'idée qu'il pourrait, en principe, lui aussi mourir. Qu'il y ait pensé trop tard n'est pas dû à son seul manque de clairvoyance. On dit qu'il lui arrivait de temps à autre de faire allusion au moment où « je ne serai plus », sur quoi le chœur immense de ses serveurs et larbins, aides de camp et veneurs (futurs hommes d'État) le suppliaient de ne plus plaisanter d'une manière aussi cruelle. Beaucoup d'entre eux, ainsi que leurs laquais de l'époque ou les laquais des laquais, pour lesquels l'heure est venue d'accéder aux fonctions suprêmes, s'accordent aujourd'hui à dire que le bail de la dernière demeure de Tito est expiré. [...]Le règne de feu le maréchal peut paraître à certains, de nos jours, avoir été une période de paix, d'ordre, de prospérité, ce qu'il a été réellement, mais la tragédie actuelle a dès lors été engendrée. Cependant, un phénomène bizarre se produit à propos de Tito. Tous les nationalistes l'accablent de ce qui est le moins de sa faute : des injustices et des crimes commis tout particulièrement envers leurs peuples respectifs. En ce qui concerne ces injustices, il les a, en principe, réparties équitablement. Il a vécu, tout simplement, dix, vingt, trente ans de plus qu'il ne nous aurait fallu. L'énorme culte de sa personnalité s'est nourri de notre dignité et de notre estime de nous-mêmes. Sa police et son armée ont fait de nous des êtres humiliés et indignés. Les dettes de l'État seraient le moindre des problèmes si seulement ce régime avait laissé aux citoyens la possibilité de conserver leurs vertus humaines, s'il ne les avait maintenus dans un état infantile, n'exigeant d'eux que la discipline et la peur du pouvoir. Maintenant, alors que ce pouvoir s'effondre, ces enfants font montre de leur manque d'éducation. La peur a disparu et soudain tout est permis.De ce point de vue, la Yougoslavie, « pays d'une révolution authentique », s'en est moins bien tirée que les autres pays de l'est européen où le nationalisme est également apparu au sortir du communisme. Ici, les gens ont été piétinés de façon plus authentique et ils manifestent maintenant des traits de caractère plus profondément barbares et des réactions plus primitives.Le fait même de la guerre ne devrait pas être si grave, si elle n'était pas conduite avec tant de barbarie, avec une énergie vengeresse incommensurable. On finira par oublier qu'elle est née d'un litige à propos des frontières, qu'il y avait des projets d'État et des ambitions antagonistes. Tout ce qui restait de discipline cédera, et il n'y aura plus que le crime sauvage, le pillage et les destructions menées suivant un catalogue des richesses culturelles et des monuments historiques universels.Peut-être tout cela ne ...
Caractéristiques
Edition
Société D'édition Et De Communication, Grasset
Dimensions (L x H x E, cm)
16 X 23 X 2.3
ISBN
9782908656053
Date de publication
1992
Poids (g)
406
Reliure
Broché
Produit indisponible
Ce produit a été victime de son succès !
Nous n'avons plus d'exemplaire disponible pour le moment mais chaque jour nous remettons plus de 8000 produits en stock.
Vous souhaitez être averti lors de son retour en stock ?
Livraison rapide offerte
En point relais ou à domicile
La livraison, en 2 à 4 jours ouvrés, est offerte en point relais sans minimum d'achat, et à domicile à partir de 15€ en France métropolitaine.
Une question ? Besoin d'aide ?
Une réponse en moins de 24h
Elsa, Monica, Vincent et toute l'équipe Recyclivre sont à votre écoute du lundi au vendredi. Nous nous engageons à une réponse en moins de 24h les jours ouvrés.
La livraison, en 2 à 4 jours ouvrés, est offerte en point relais sans minimum d'achat, et à domicile à partir de 15€ en France métropolitaine.
Une question ? Besoin d'aide ?
Elsa, Monica, Vincent et toute l'équipe Recyclivre sont à votre écoute du lundi au vendredi. Nous nous engageons à une réponse en moins de 24h les jours ouvrés.
+3 millions de clients depuis 2008
Depuis 2008, plus de 3 millions de clients nous ont déjà fait confiance. Votre satisfaction est notre priorité.
Paiement sécurisé
Toutes vos transactions sont entièrement sécurisées grâce à Stripe, notre partenaire de paiement.
Livraison rapide et incluseLivraison rapide et incluse
Vous recevrez votre commande dans les 3 à 5 jours.
Soyez le premier à donner votre avis et aidez la communauté Recyclivre à faire son choix parmi nos milliers de livres.
Donnez votre avis sur le contenu du livre Règle du jeu (La), n° 6. L'affaire Barthes. Actualité du XVIIIe siècle !
Pour tout autre commentaire ou question, contactez-nous.
Vous devez être connecté pour pouvoir laisser un avis
Recevez des inspirations littéraires, nos bons plans à petit prix et nos actus pour démocratiser l’occasion 🤍
Votre e-mail servira uniquement à vous envoyer la newsletter Recyclivre et ne sera jamais communiqué à un tiers. Vous pourrez vous désabonner en un clic à tout moment.
Lors des livraisons en point relais, les émissions de CO2 sont moins importantes grâce au regroupement d'un grand nombre de colis dans un même camion pour un seul point de livraison.
Une erreur est survenue. Veuillez réessayer ultérieurement.
Avis des lecteurs Recyclivre