Lors des livraisons en point relais, les émissions de
CO2 sont le plus souvent moins
importantes grâce au regroupement d'un grand nombre de
colis dans un même camion pour un seul
point de livraison.
Nous répertorions nos livres selon 4 états correspondant à la qualité de ces derniers :
Comme neuf
Idéal pour l’offrir. Couverture, dos, coins et pages intérieures peuvent avoir des défauts minimes. Jaquette d'origine présente.
Le tout sans aucune tache ou déchirure. Aucune note, marque, inscription ou annotation manuscrite.
Très bon état
Idéal pour l’offrir. Livre en excellent état comportant des petits défauts sur la couverture, dos, coins et pages intérieures.
La jaquette peut être manquante. Aucune note, marque, inscription ou annotation manuscrite sur les pages de lecture.
Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde.
Bon état
Idéal pour le lire et le relire. Le livre doit avoir toutes ses pages.
Couverture, dos, coins et pages intérieures peuvent être endommagés (Par exemple : coins frottés, légères marques d'usure).
Il peut y avoir des passages soulignés et quelques notes en marge sans nuire à la lecture du texte. Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde.
Les pages du livre peuvent être jaunies.
Acceptable
Idéal pour les livres que vous emmenez partout avec vous (vacances à la plage, à la montagne, etc).
Couverture, dos, coins et pages intérieures comportant des défauts visibles, souvent prononcés, ne nuisant pas à la lecture.
Il peut y avoir des passages soulignés et quelques notes en marge sans nuire à la lecture du texte.
Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde. Les pages du livre peuvent être jaunies.
A noter : la mention Bibliothèque signifie que le livre est plastifié et
étiqueté car c’est un ancien support de bibliothèque. Nous travaillons en effet avec des bibliothèques éco-responsables qui nous
confient les livres sortis de leur inventaire plutôt que de les jeter. Plus solides, et porteurs d’une belle histoire, il n’y a aucune raison de ne pas les aimer !
Résumé
Revue de presse Apprendre à gérer l'information est un impératif vital Les entreprises doivent aujourd'hui s'informer précisément des évolutions possibles de leur marché (concurrents, réglementations, innovations ...). Cette veille permanente doit permettre aux décideurs de réduire l'incertitude et de ne plus subir l'environnement. L'intelligence économique, activité en plein essor, ne peut plus se contenter des sources classiques de documentation (presse, notes...) car l'information est essentiellement informelle et sa collecte exige donc un savoir-faire spécialisé. Une fois collectée, il faut rendre l'information accessible Dans un monde où l'information est devenue la première source de la valeur ajoutée de l'entreprise, sa circulation au sein du personnel est vitale. Les techniques de l'intelligence économique doivent donc s'efforcer de la développer en modifiant, si nécessaire, la culture de l'entreprise, traditionnellement portée, en France, à un fort cloisonnement interne. L'intelligence économique devient le coeur des préoccupations des entreprises Devenue richesse économique stratégique, l'information est aussi devenue plus précieuse et plus sensible que jamais. Les entreprises ne peuvent donc plus ignorer l'intelligence économique car, même si elles ne recourent pas à ses services, elles peuvent à tout moment être victimes de son insatiable curiosité. -- Idées clés, par Business DigestVoici un ouvrage roboratif ! D'abord parce qu'il s'applique ses propres recettes, en utilisant des phrases courtes et pour tout dire communicantes, illustrées d'exemples tirés de la vie de tous les jours. De plus, en ces temps où tout un chacun se croit obligé de mettre l'information à la sauce Internet, c'est presque reposant de retrouver ce dernier à sa vraie place : celle d'un simple outil d'accès. Enfin, le titre est un peu trompeur, mais dans le bon sens du terme, puisque, au-delà de l'intelligence économique, on retrouve bon nombre de formules pratiques de management des hommes et des organisations. Au delà des ces remarques d'ordre général, il y a quatre raisons particulières pour encenser cet ouvrage : - grâces lui soient rendues pour avoir souligné que « l'intelligence » ne doit pas être prise sous le seul angle, réducteur, de ses aspects scientifiques et techniques. A ce titre, on peut presque regretter qu'il ne s'intitule pas « L'intelligence concurrentielle », pour mettre davantage l'accent sur l'importance primordiale des questions relatives au simple (!) positionnement par rapport à son marché et à ses concurrents. - l'ouvrage insiste sur le fait que l'acquisition d'informations se gère, de même qu'on gère les achats, les finances ou les ressources humaines. Cette gestion est nécessaire à la fois pour l'acquisition à l'extérieur ( qui s'apparente à un simple achat de fournitures) et pour la mise en place de la collecte interne ; et ceci même si le calcul de la rentabilité n'est pas toujours aisé. - contrairement à ce qui se passe d'habitude pour ce genre de livres, les auteurs soulignent l'enjeu de l'acquisition « interne », source probablement la plus riche et la plus maltraitée : comment mobiliser le personnel, comment collecter l'information qu'ils ont recueillie, comment en organiser la circulation, comment contourner les obstacles à son exploitation. - enfin, enseignement fondamental : la valeur de l'information découle non pas tant de son coût d'acquisition, mais ... de l'utilisation qui en est faite ! A la phrase de Kennedy : « l'information coûte cher mais rien ne coûte plus cher que l'ignorance », on pourrait ajouter qu'il existe encore plus cher, c'est de ne pas utiliser l'information dont on dispose. C'est donc un ouvrage dont la lecture rend plus intel-ligent ! Qu'on nous permette toutefois deux critiques ... constructives ! La première insatisfaction tient au fait que les recettes présentées paraissent trop axées sur la grande entreprise. Or, nous le savons, c'est plutôt dans les structures petites et moyennes que la démarche d'information est encore balbutiante, quand elle n'est pas totalement absente. Un éclairage plus particulier sur une démarche simplifiée ou progressive aurait significativement amélioré l'impact pédagogique. Par ailleurs, si l'accent est clairement mis sur la protection et la sécurité de l'information, il manque, semble-t-il, un développement sur le risque de « silence ». Il faudrait, en effet, rappeler que la gestion de l'émission de l'information doit viser à éviter d'en dire trop, mais aussi et presqu'autant, à éviter que l'on n'en dise rien ! Car, sur un marché de plus en plus mondial, si on ne vous trouve pas lors d'une recherche, la conclusion naturelle est que vous et votre savoir-faire n'existez pas ! et vous perdez du même coup des occasions de trouver clients et partenaires. -- Georges Fisher -- -- Business Digest
Revue de presse Apprendre à gérer l'information est un impératif vital Les entreprises doivent aujourd'hui s'informer précisément des évolutions possibles de leur marché (concurrents, réglementations, innovations ...). Cette veille permanente doit permettre aux décideurs de réduire l'incertitude et de ne plus subir l'environnement. L'intelligence économique, activité en plein essor, ne peut plus se contenter des sources classiques de documentation (presse, notes...) car l'information est essentiellement informelle et sa collecte exige donc un savoir-faire spécialisé. Une fois collectée, il faut rendre l'information accessible Dans un monde où l'information est devenue la première source de la valeur ajoutée de l'entreprise, sa circulation au sein du personnel est vitale. Les techniques de l'intelligence économique doivent donc s'efforcer de la développer en modifiant, si nécessaire, la culture de l'entreprise, traditionnellement portée, en France, à un fort cloisonnement interne. L'intelligence économique devient le coeur des préoccupations des entreprises Devenue richesse économique stratégique, l'information est aussi devenue plus précieuse et plus sensible que jamais. Les entreprises ne peuvent donc plus ignorer l'intelligence économique car, même si elles ne recourent pas à ses services, elles peuvent à tout moment être victimes de son insatiable curiosité. -- Idées clés, par Business DigestVoici un ouvrage roboratif ! D'abord parce qu'il s'applique ses propres recettes, en utilisant des phrases courtes et pour tout dire communicantes, illustrées d'exemples tirés de la vie de tous les jours. De plus, en ces temps où tout un chacun se croit obligé de mettre l'information à la sauce Internet, c'est presque reposant de retrouver ce dernier à sa vraie place : celle d'un simple outil d'accès. Enfin, le titre est un peu trompeur, mais dans le bon sens du terme, puisque, au-delà de l'intelligence économique, on retrouve bon nombre de formules pratiques de management des hommes et des organisations. Au delà des ces remarques d'ordre général, il y a quatre raisons particulières pour encenser cet ouvrage : - grâces lui soient rendues pour avoir souligné que « l'intelligence » ne doit pas être prise sous le seul angle, réducteur, de ses aspects scientifiques et techniques. A ce titre, on peut presque regretter qu'il ne s'intitule pas « L'intelligence concurrentielle », pour mettre davantage l'accent sur l'importance primordiale des questions relatives au simple (!) positionnement par rapport à son marché et à ses concurrents. - l'ouvrage insiste sur le fait que l'acquisition d'informations se gère, de même qu'on gère les achats, les finances ou les ressources humaines. Cette gestion est nécessaire à la fois pour l'acquisition à l'extérieur ( qui s'apparente à un simple achat de fournitures) et pour la mise en place de la collecte interne ; et ceci même si le calcul de la rentabilité n'est pas toujours aisé. - contrairement à ce qui se passe d'habitude pour ce genre de livres, les auteurs soulignent l'enjeu de l'acquisition « interne », source probablement la plus riche et la plus maltraitée : comment mobiliser le personnel, comment collecter l'information qu'ils ont recueillie, comment en organiser la circulation, comment contourner les obstacles à son exploitation. - enfin, enseignement fondamental : la valeur de l'information découle non pas tant de son coût d'acquisition, mais ... de l'utilisation qui en est faite ! A la phrase de Kennedy : « l'information coûte cher mais rien ne coûte plus cher que l'ignorance », on pourrait ajouter qu'il existe encore plus cher, c'est de ne pas utiliser l'information dont on dispose. C'est donc un ouvrage dont la lecture rend plus intel-ligent ! Qu'on nous permette toutefois deux critiques ... constructives ! La première insatisfaction tient au fait que les recettes présentées paraissent trop axées sur la grande entreprise. Or, nous le savons, c'est plutôt dans les structures petites et moyennes que la démarche d'information est encore balbutiante, quand elle n'est pas totalement absente. Un éclairage plus particulier sur une démarche simplifiée ou progressive aurait significativement amélioré l'impact pédagogique. Par ailleurs, si l'accent est clairement mis sur la protection et la sécurité de l'information, il manque, semble-t-il, un développement sur le risque de « silence ». Il faudrait, en effet, rappeler que la gestion de l'émission de l'information doit viser à éviter d'en dire trop, mais aussi et presqu'autant, à éviter que l'on n'en dise rien ! Car, sur un marché de plus en plus mondial, si on ne vous trouve pas lors d'une recherche, la conclusion naturelle est que vous et votre savoir-faire n'existez pas ! et vous perdez du même coup des occasions de trouver clients et partenaires. -- Georges Fisher -- -- Business Digest
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