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Résumé
L'ÉPOQUE ?>CLAUDIOANGELINILe jeu desrèglesen Italie¦ Enfin, on vote, même si le peuple italien est las de voter, las d'écouter les politiciens, las du chômage, de la récession et de l'inflation grandissante, las du gouvernement de techniciens, las des promesses jamais tenues et du scintillement d'illusions dans lequel il a baigné pendant des années.Enfin, on vote, et quel que soit le vainqueur (le meilleur ou le pire), la règle du jeu sera enfreinte, qui se fondait sur le « jeu des règles » et voulait imposer un accouplement libéral — fascinant et ridicule — à deux corps et deux âmes qui connaissent par cœur quelques phrases de Benedetto Croce mais n'ont pas grand-chose de libéral. J'entends par là la gauche et la droite. Sans oublier le centre qui n'est autre qu'une nostalgie post-démocrate-chrétienne.Et tous de se réunir autour d'une table (non point de spaghetti mais de saines nourritures françaises et américaines). Bon — dit la gauche —, le gagnant perdra la présidence de la Chambre des députés. D'accord — répond la droite —, mais le perdant aura la présidence de la RAI. Suivent quelques propositions moins indécentes, issues du Pôle des libertés, c'est-à-dire du centre-droit : nous voulons un régime semi-présidentiel à la française. Et le centre-gauche de refuser catégoriquement et de proposer deux majorités différentes, l'une pour les réformes institutionnelles, l'autre pour le gouvernement du pays. Autrement dit : au dîner, tout le monde est ami, mais au petit déjeuner et au déjeuner, pas de quartier. Et pendant ce temps-là, la lire s'effondre, le chômage augmente, les juges pratiquent une justice sommaire et, après avoir condamné les politiciens (en se substituant de fait au pouvoir exécutif), ils se poursuivent entre eux, se tournent en dérision et se jettent en prison. Sans le jeu des règles, on ne peut réformer la justice, on ne peut rien faire, même pas réparer un robinet qui fuit. Ainsi, nous voyons marcher dangereusement vers les élections une Italie sans règles démocratiques, qui se débat depuis un an dans des doutes hamlétiques, mais qui en réalité craint la confrontation avec les problèmes des gens et la consultation politique. Car on ne plaisante pas avec le système majoritaire : finis les postes et les prébendes pour les perdants.En somme, les deux mille ans de système d'alliances et les trente ans d'affairisme démocrate-chrétien, socialiste et communiste, que défendait le système proportionnel cher à Don Sturzo, Craxi et Berlinguer, seraient définitivement engloutis.Que se passera-t-il après les élections ? Un homme d'État étranger a affirmé que l'Italie deviendra la Suisse de l'Afrique. Je ne le pense pas, car la Suisse a des principes obtus mais sains. Notre système politico-biologique, lui, nous interdira toujours toutes règles, même celle de la mystification totale, c'est-à-dire de la non identification géographique. L'Italie est une Europe à part, fascinante comme tout jeu, tout puzzle ayant gardé au cours des siècles son mystère.L'Italie est une Afrique douce, mis à part les quelques rites tribaux de la mafia. L'Italie inquiète et endormie, violente et tendre, habituée depuis des années aux privilèges des syndicats et au couperet de l'assassin repenti s'abattant sur celui que le bourreau voudrait condamner ; et malgré tout, cette Italie va élaborer un projet de libéralisme qui laissera pantois de nombreux pays européens.Aujourd'hui, enfin, on va voter, mais il y a quelques jours encore, on croyait ne plus jamais pouvoir le faire. Aujourd'hui, enfin, on a libéré une législature emprisonnée par d'étranges desseins de restauration démocrate-chrétienne. Les lambeaux meurtris de la « Cosa » devaient se recomposer dans le sommeil de l'horreur et le songe d'un vieillard. Aujourd'hui, enfin, la gauche peut cracher sur la droite et la droite vomir sur la gauche. Aujourd'hui, enfin, on va de nouveau avoir la vraie règle du jeu, contre tout jeu des règles : la majorité gouverne et la minorité veille. Et qui sait si cette longue pause, cette séquestration de la volonté du peuple ne nous transmettront pas un code d'élégance. Cracher, oui, mais sans prononcer le mot communiste. Vomir, oui, mais sans accuser l'autre de fascisme. Se frapper, oui, mais avec un certain respect, selon un code de savoir-vivre politique interdisant la violence et la persécution. Tel les Fiancés de Peynet, Fini (droite) et D'Alema (gauche) se sont côtoyés dans de longs débats télévisés. Puis, ce fut le tour de D'Alema et Berlusconi, de Bianco (Parti populaire) et Buttiglione (CDU). Tous se sont touchés, flairés, respectés, au nom du libéralisme annoncé.Au fond, je suis optimiste. Ce code de savoir-vivre, après le combat politique, passera peut-être de la forme à la substance, et ce libéralisme que l'Italie n'a jamais connu se réalisera un jour, d'un côté ou de l'autre. Le début du siècle invoqua son avènement, mais la première guerre mondiale le rejeta dans les abysses des troubles psychiques. Et l'obtuse droite libérale des années vingt osa s'associer au fascisme. Après la seconde guerre mondiale, l'occasion se représenta mais l'Italie la rata de nouveau, préférant l'État catholico-associatif à l'État laïco-libéral. Aujourd'hui, le moment est venu du libéralisme vrai, même si ses ennemis sont toujours aux aguets. Cardinaux et évêques éructent des conseils « politiques » que les partis ne peuvent manquer d'écouter, sous peine de perdre de saintes voix. Le risque existe donc d'un libéralisme bigot (antilibéral), réalisé à grands coups de mea culpa et de « Dieu, pardonne-moi ». Sans compter le risque d'un autre libéralisme fallacieux, celui de ceux qui écrivent libéral à l'américaine — liberal, sans accent sur le e —, ignorant que l'Amérique est une réalité lointaine et que là-bas, cet adjectif n'a rien d'élogieux : c'est une accusation contre ceux qui emploient sans scrupule le mot progrès et envoient de pauvres jeunes gens se faire massacrer au Viêt-nam, des vieux mercenaires dans la Baie des Cochons, d'ambitieuses first ladies dans le panier de crabe du pouvoir et de la rumeur. Un libéralisme qui, aux États-Unis, cache les illusions du « New Deal » et, en Italie, les désillusions du communisme.Je me permets de suggérer à mon cher pays un libéralisme à la française, puisqu'un régime présidentiel à la française ne verra sans doute jamais le jour chez nous : un libéralisme plus ou moins authentique, en dépit des juges, en dépit des politiciens, en dépit des journalistes.Et nous en arrivons au scandale à proprement parler : journalistes-politiciens, journalistes-juges, journalistes-assassins, journalistes faux jetons et jeteurs de sorts. Des journalistes qui, s'enorgueillissant de la liberté de la presse, répondent docilement aux ordres du pouvoir. La télévision italienne diffuse chaque soir une émission à fort taux d'écoute appelée « Striscia la notizia1 », qui singe, avec une certaine intelligence, les journaux télévisés publics et privés, en donnant des nouvelles véridiques mais sous la forme humoristique des chansonniers.Parmi les personnages, un faux directeur prénommé Linguetta se tient toujours prêt à lécher les pompes des politiciens qui lui demandent des gros titres et des reportages.Je ne dis pas que les journalistes italiens sont tous des Linguetta, mais la tentation est forte pour nombre d'entre eux, parce qu'en plus il n'existe pas ici d'éditeurs purs et simples. Presque tous sont dénaturés, ils ont tous d'autres intérêts, beaucoup plus lucratifs, qui pèsent bien plus lourd qu'une feuille de papier. Et les journalistes doivent les satisfaire, même lorsqu'ils feignent de s'opposer à eux. Certains le font, mais aucun ne démissionne sans trouver un poste dans le journal de l'éditeur concurrent. Et l'on ne pontifie jamais en faveur d'une idée, mais contre tel ou tel personnage politique. Pour cacher sa propre pauvreté d'idées et l'entité du salaire que l'éditeur a accordé. Peut-être notre journalisme deviendra-t-il lui aussi moins sectaire et plus libéral. Après les élections du 21 avril prochain, la véritable seconde république commencera à prendre corps, et le chaos de ces derniers mois sera suivi d'une période d'ordre et de resp...
L'ÉPOQUE ?>CLAUDIOANGELINILe jeu desrèglesen Italie¦ Enfin, on vote, même si le peuple italien est las de voter, las d'écouter les politiciens, las du chômage, de la récession et de l'inflation grandissante, las du gouvernement de techniciens, las des promesses jamais tenues et du scintillement d'illusions dans lequel il a baigné pendant des années.Enfin, on vote, et quel que soit le vainqueur (le meilleur ou le pire), la règle du jeu sera enfreinte, qui se fondait sur le « jeu des règles » et voulait imposer un accouplement libéral — fascinant et ridicule — à deux corps et deux âmes qui connaissent par cœur quelques phrases de Benedetto Croce mais n'ont pas grand-chose de libéral. J'entends par là la gauche et la droite. Sans oublier le centre qui n'est autre qu'une nostalgie post-démocrate-chrétienne.Et tous de se réunir autour d'une table (non point de spaghetti mais de saines nourritures françaises et américaines). Bon — dit la gauche —, le gagnant perdra la présidence de la Chambre des députés. D'accord — répond la droite —, mais le perdant aura la présidence de la RAI. Suivent quelques propositions moins indécentes, issues du Pôle des libertés, c'est-à-dire du centre-droit : nous voulons un régime semi-présidentiel à la française. Et le centre-gauche de refuser catégoriquement et de proposer deux majorités différentes, l'une pour les réformes institutionnelles, l'autre pour le gouvernement du pays. Autrement dit : au dîner, tout le monde est ami, mais au petit déjeuner et au déjeuner, pas de quartier. Et pendant ce temps-là, la lire s'effondre, le chômage augmente, les juges pratiquent une justice sommaire et, après avoir condamné les politiciens (en se substituant de fait au pouvoir exécutif), ils se poursuivent entre eux, se tournent en dérision et se jettent en prison. Sans le jeu des règles, on ne peut réformer la justice, on ne peut rien faire, même pas réparer un robinet qui fuit. Ainsi, nous voyons marcher dangereusement vers les élections une Italie sans règles démocratiques, qui se débat depuis un an dans des doutes hamlétiques, mais qui en réalité craint la confrontation avec les problèmes des gens et la consultation politique. Car on ne plaisante pas avec le système majoritaire : finis les postes et les prébendes pour les perdants.En somme, les deux mille ans de système d'alliances et les trente ans d'affairisme démocrate-chrétien, socialiste et communiste, que défendait le système proportionnel cher à Don Sturzo, Craxi et Berlinguer, seraient définitivement engloutis.Que se passera-t-il après les élections ? Un homme d'État étranger a affirmé que l'Italie deviendra la Suisse de l'Afrique. Je ne le pense pas, car la Suisse a des principes obtus mais sains. Notre système politico-biologique, lui, nous interdira toujours toutes règles, même celle de la mystification totale, c'est-à-dire de la non identification géographique. L'Italie est une Europe à part, fascinante comme tout jeu, tout puzzle ayant gardé au cours des siècles son mystère.L'Italie est une Afrique douce, mis à part les quelques rites tribaux de la mafia. L'Italie inquiète et endormie, violente et tendre, habituée depuis des années aux privilèges des syndicats et au couperet de l'assassin repenti s'abattant sur celui que le bourreau voudrait condamner ; et malgré tout, cette Italie va élaborer un projet de libéralisme qui laissera pantois de nombreux pays européens.Aujourd'hui, enfin, on va voter, mais il y a quelques jours encore, on croyait ne plus jamais pouvoir le faire. Aujourd'hui, enfin, on a libéré une législature emprisonnée par d'étranges desseins de restauration démocrate-chrétienne. Les lambeaux meurtris de la « Cosa » devaient se recomposer dans le sommeil de l'horreur et le songe d'un vieillard. Aujourd'hui, enfin, la gauche peut cracher sur la droite et la droite vomir sur la gauche. Aujourd'hui, enfin, on va de nouveau avoir la vraie règle du jeu, contre tout jeu des règles : la majorité gouverne et la minorité veille. Et qui sait si cette longue pause, cette séquestration de la volonté du peuple ne nous transmettront pas un code d'élégance. Cracher, oui, mais sans prononcer le mot communiste. Vomir, oui, mais sans accuser l'autre de fascisme. Se frapper, oui, mais avec un certain respect, selon un code de savoir-vivre politique interdisant la violence et la persécution. Tel les Fiancés de Peynet, Fini (droite) et D'Alema (gauche) se sont côtoyés dans de longs débats télévisés. Puis, ce fut le tour de D'Alema et Berlusconi, de Bianco (Parti populaire) et Buttiglione (CDU). Tous se sont touchés, flairés, respectés, au nom du libéralisme annoncé.Au fond, je suis optimiste. Ce code de savoir-vivre, après le combat politique, passera peut-être de la forme à la substance, et ce libéralisme que l'Italie n'a jamais connu se réalisera un jour, d'un côté ou de l'autre. Le début du siècle invoqua son avènement, mais la première guerre mondiale le rejeta dans les abysses des troubles psychiques. Et l'obtuse droite libérale des années vingt osa s'associer au fascisme. Après la seconde guerre mondiale, l'occasion se représenta mais l'Italie la rata de nouveau, préférant l'État catholico-associatif à l'État laïco-libéral. Aujourd'hui, le moment est venu du libéralisme vrai, même si ses ennemis sont toujours aux aguets. Cardinaux et évêques éructent des conseils « politiques » que les partis ne peuvent manquer d'écouter, sous peine de perdre de saintes voix. Le risque existe donc d'un libéralisme bigot (antilibéral), réalisé à grands coups de mea culpa et de « Dieu, pardonne-moi ». Sans compter le risque d'un autre libéralisme fallacieux, celui de ceux qui écrivent libéral à l'américaine — liberal, sans accent sur le e —, ignorant que l'Amérique est une réalité lointaine et que là-bas, cet adjectif n'a rien d'élogieux : c'est une accusation contre ceux qui emploient sans scrupule le mot progrès et envoient de pauvres jeunes gens se faire massacrer au Viêt-nam, des vieux mercenaires dans la Baie des Cochons, d'ambitieuses first ladies dans le panier de crabe du pouvoir et de la rumeur. Un libéralisme qui, aux États-Unis, cache les illusions du « New Deal » et, en Italie, les désillusions du communisme.Je me permets de suggérer à mon cher pays un libéralisme à la française, puisqu'un régime présidentiel à la française ne verra sans doute jamais le jour chez nous : un libéralisme plus ou moins authentique, en dépit des juges, en dépit des politiciens, en dépit des journalistes.Et nous en arrivons au scandale à proprement parler : journalistes-politiciens, journalistes-juges, journalistes-assassins, journalistes faux jetons et jeteurs de sorts. Des journalistes qui, s'enorgueillissant de la liberté de la presse, répondent docilement aux ordres du pouvoir. 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